Le projet Moby-Dick est un programme de recherche en arts, développé par le Laboratoire des objets libres, rattaché à l’Unité de Recherche ARTES UR 24141 de l’Université Bordeaux Montaigne (France).
Partant d’une relecture, d’une analyse et d’une actualisation du roman de Herman Melville, Moby-Dick ou le cachalot (1851) ces travaux portent sur l’étude des écosystèmes de création dans le contexte de nos « sociétés liquides ».
Réalités de la recherche (collective) en artsColloque international - 29-30 novembre 2018 - Université Bordeaux MontaigneUniversité Bordeaux Montaigne - Maison des Arts - Tram B arrêt Montaigne Montesquieu Dire Moby-Dick, par la recherche en artsDIRE MOBY-DICK, PAR LA RECHERCHE EN ARTS
éd. Presses Universitaires de Bordeaux, coll. Un artiste des étudiants, 240 pages, 16,5x23cm, avril 2018, avec le soutien de l’Unité de Recherche CLARE et de l’UFR Humanités de l’Université Bordeaux Montaigne.
DIRE MOBY-DICK, PAR LA RECHERCHE EN ARTS est construit comme une préparation au voyage. Ce livre a d’abord été conçu pour donner à entendre la lecture francophone, ininterrompue et inédite, pendant 32 heures, des 139 chapitres du roman de Melville, Moby-Dick ; ou le cachalot. Dire Moby-Dick est donc un livre qui parle d’un livre et le donne à entendre, à lire et à voir, mais aussi d’une méthode possible de recherche en arts qui mise sur la continuité expérimentale entre les différents temps de cette recherche. Qu’est-ce qu’on cherche ? À comprendre le sens actuel des formes, des gestes et des sons de l’écriture melvillienne. Pourquoi ? Pour valoriser l’écoute et l’attention. Pour tester des micro « architectures de survie » contenues dans les petits gestes de création. Pour miser sur la polyvalence. Ce livre retrace les expériences et les analyses d’une année ainsi que les rencontres avec Jean Dupuy, Catherine Poulain, Philippe Jaworski et Anne Colomes.
Les auteurs: Chloé Bappel, Pierre Baumann, Etienne Beaudouin, Christine Bielle, Marlaine Bournel, Alice Camuzeaux, Simon Deniboire, Esther Pontoreau, Camille Rousseau, Tomas Smith, Anne Wambergue.
Pour en savoir plus :
// 19/04-2018 à 18h - Soirée de présentation, projection et discussion autour du livre - Librairie L’Ascenseur végétal - 20 rue Bouquière, Bordeaux.
// 24/04-04/05-2018 - Exposition - 32H, 1 an et livre livre de recherche en arts - Université Bordeaux Montaigne - Hall de la Présidence - Présentation et vente du livre en présence de l’équipe le 24 avril.
// Suivre sur fb: Moby-Dick Project
// Ecouter sur Soundcloud: Moby-Dick Project
// Voir sur Vimeo: Les Objets Libres
// En vente à L’Ascenseur végétal, chez Mollat à Bordeaux, dans toutes les bonnes librairies ou sur votre site favori de vente en ligne.
De Cibecue à LemniscateDe Cibecue à Lemniscate retrace, à partir d’un livre et d’un disque vinyle, une expérience qui a débuté au barrage de Cap-de-Long, situé dans les Hautes-Pyrénées, construit en un temps record entre 1946 et 1952. Monté comme une enquête à partir d’un entretien mené avec l’ingénieur en chef chargé de l’édification du barrage, Georges Brousse, De Cibecue à Lemniscate est une expérience à la charnière entre la pédagogie et la recherche en Arts. Elle a associé une artiste photographe, Sabine Delcour, des étudiants en Arts de l’Université Bordeaux Montaigne et un artiste enseignant-chercheur, Pierre Baumann. L’ouvrage est construit comme une fiction organique qui traite de ce qui conduit le processus photographique, la génération d’images visuelles et sonores : interroger le sens du lieu, le rôle du mouvement et la valeur du point de vue. Autrement dit, De Cibecue à Lemniscate traite du rapport déterminant qu’entretiennent des lieux, un ouvrage d’art et des individus, avec une forme particulière du dessin qu’on pourra appeler une « courbe de raccordement » et qui se trouve énigmatiquement incarnée par la figure de Lemniscate. –––– Charger les infos:
L'usureIl y a une urgence durable à réfléchir sur ce qui épuise nos sociétés, nos civilisations, nos cultures, nos économies, nos pensées et nos regards : l’usure. L’art pense et dépense l’usure. De biais, elle scrute et dévoile ses désastres et ses bénéfices abusifs. L’art, mine de rien, résiste à l’usure. Il propose ses propres ripostes, ses renversements, ses revalorisations. L’art lamine l’usure, la fait miroiter, la met en crise. L’art réchauffe l’usure, comme l’usure réchauffe les matériaux qui se confrontent à ces frottements répétés. L’usure a sa chaleur. Cet ouvrage L’usure est construit en deux volumes à lire croisés : 2 volumes: Charger les infos:
Les objets libresSoutenance d'Habilitation à Diriger des Recherches Comme le titre l'indique - "les objets libres" - il est des objets (d'art) qu'on ne saurait absolument
Publication de LLH papierLe Livre et l'Hypothèse étudie les propriétés du plancton pour en expérimenter ses propensions à la dissémination. Par extension, que veut dire faire un geste de plancton? En revenant ainsi aux origines
COLLOQUE / EXPOSITION l'USURE// De Markten / 7_11 - 14_12_2014 / Oude Graanmarkt 5, 1000 Bruxelles La chaleur de l'usureExposition du 7 novembre au 14 décembre 2014 L'usure excès d'usage et bénéfices de l'artColloque du 6 au 8 novembre 2014
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